Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 13:00

Ce soir, je sors ! C'est par ces quatre mots que Georgette m'informa par texto du programme de sa soirée. Le rituel habituel allait se mettre en place.


Lorsqu'elle rentra du travail, elle se déshabilla entièrement. Je ramassai ses vêtements, les rangeai sur une chaise et patientai devant la porte de la salle de bain. Georgette me fit entrer et m'ordonna de m'occuper de ses ongles de pieds, pendant qu'elle finissait de se préparer. Je les coupais, les limais, les décolorais, les vernissais puis finissais par souffler dessus pour les faire sécher plus rapidement. J'en profitais pour les lécher au passage et j'étais déjà passablement excité.

 

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Je me dirigeais vers l'armoire et choisissais pour elle un ensemble string / soutien-gorge en nylon noir transparent, dont l'absence de dentelles laissait apercevoir ses tétons et sa toison à travers le tissu. Je prenais ensuite au vestiaire une paire de talons aiguille de 12 centimètres en daim orange que je lui avais offert et qu'elle avait choisi pour la soirée. Je m'appliquais à les frotter délicatement afin de ne pas abîmer le cuir.


Georgette vint me rejoindre au salon. Elle était splendide ! Elle portait un chemisier orange transparent, une jupe courte et des bas. Elle s'assit sur le canapé et me tendit son pied pour que je la chausse.


Pendant que je m'affairais, elle me dit :

-Enumère-moi les quatre règles de sortie !

- Si tu repères un homme qui te plaît, tu l'embrasse. S'il embrasse mieux que moi, tu le suces. S'il est mieux membré que moi, il te baise. Et s'il est plus endurant que moi, tu lui offres ton cul.

Je précise que Georgette ne m'a jamais autorisée à la sodomiser, mis à part avec ma langue.


- C'est bien ! Pendant que je vais m'amuser, tu vas faire du repassage. Tu vas te déshabiller entièrement. Tu vas serrer fortement tes couilles avec une cordelette et attacher l'autre extrémité au fer à repasser. Je veux qu'à chaque mouvement, la corde soit bien tendue. Et n'oublie pas de poser des pinces sur tes seins.


Elle m'embrassa rapidement, tout ne me caressant l'entre-jambe et s'en alla.


Je me mettais rapidement en tenue, ou plutôt sans tenue et envoyais une photo sur le portable de Georgette pour lui prouver mon obéissance.

 

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- C'est bien, me répondit-elle. Maintenant, ne me dérange plus !


Au bout de deux heures, la corbeille de linge était vide. Je consultais mon portable. Aucun signe de ma femme. Mes tétons me faisaient souffrir le martyr et mes bourses étaient bien irritées par le frottement de la cordelette. Lorsque j'ôtais les pinces, la douleur se fit encore plus impitoyable. Je décidais de me coucher sur le sofa, en l'attendant.


Les heures passaient et je n'arrivais bien évidemment pas à trouver le sommeil. Je consultais encore mon téléphone. RAS. Il arrivait quelque fois à Georgette de m'envoyer des photos ou des ordres mais là, rien…


Vers quatre heures du matin, j'entendis des talons claquer dans les escaliers puis une minute plus tard, la porte de l'appartement s'ouvrit. Georgette se dirigea directement vers le sofa et se coucha sur moi. Un mélange d'odeur animale m'empli mes narines. Georgette me roula une pelle bien baveuse. Le goût de sa salive ne laissait planer aucun doute. C'était du sperme. Je me mis à bander.

- Tu es vraiment un vicieux. Ta femme se fait défoncer par un autre homme et ça t'excite ?

- Je t'aime et je ne souhaite que ton bonheur.

- Commence déjà par me nettoyer la chatte !

 

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Georgette s'assis sur mon visage et colla son minou gluant sur ma bouche, tout en me tirant par les cheveux. J'enfonçais ma langue et commençais à laper le mélange de mouille et de sperme.

 

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Pendant que je la léchais goulûment, mon épouse m'expliqua qu'elle avait flashé sur un serveur africain. Elle l'avait chauffé toute la soirée, en commençant par relever sa jupe haut sur ses cuisses puis en écartant largement ses jambes et en finissant par ôter son string et le lui donner. A la fermeture du bar, elle l'avait sucé, à genoux, dans la réserve puis il l'avait emmené chez lui.


Pendant qu'elle me parlait, elle me masturbait jusqu'à ce que j'arrive au seuil de la jouissance puis me giflait le sexe et les couilles et recommençait ce même traitement.


Le jeune homme l'avait baisée dans les escaliers qui menaient à son appartement, sur la cuisinière et finalement dans son lit. Georgette l'avait supplié de la sodomiser mais sa bite était tellement large que ma femme n'avait pas réussi à la faire entrer dans son petit trou.


Ma femme roula sur le côté et m'ordonna de la pénétrer. Je lui obéis et m'enfonçais dans sa chatte béante. Après quelques aller-et-retour, elle cria :

- Stop ! Je ne sens rien. Comment est-ce que je pourrais me contenter d'une bite aussi ridicule. Tu n'es bon qu'à lécher. Allez, branle-toi sur mes fesses !


Georgette se coucha sur le ventre et je jouis en à peine dix secondes.

- Lèche tout et insiste bien sur mon petit trou ! Il faut bien le dilater pour que mon petit serveur puisse m'enculer la prochaine fois que je sortirais.


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Par soumisamafemme - Publié dans : Fantasmes - Communauté : Récits Erotiques X
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 12:34

Lorsque Georgette m'a demandé de lui donner des idées pour mon cadeau d'anniversaire, je lui ai répondu qu'une soirée de soumission serait le plus merveilleux des présents.

 

Le soir en question, ma femme m'a demandé de mettre un string en résilles sous mon pantalon car nous sortions. C'est elle qui pour une fois prit le volant. Elle s'arrêta sur le parking d'un petit restaurant assez raffiné. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour prendre l'apéro. Georgette m'informa que c'est elle qui allait commander pour moi, toute la soirée.

 

Lorsque la serveuse est venue prendre notre commande, mon épouse lui a dit qu'elle allait prendre un verre de vin blanc et un verre d'eau du robinet pour moi. La serveuse esquissa un petit sourire. Une fois nos verres vides, nous sommes entrés dans l'établissement. Il y avait une quinzaine de clients. Le patron vint prendre la commande du repas. Georgette commanda un tartare de saumon en entrée, un filet de bœuf en second et une bouteille de vin rouge, avec un seul verre, précisa-t-elle. Lorsque le patron me demanda ce que je voulais manger, Georgette ne dit rien. Je l'ai interrogée du regard mais elle restait impassible. Face au regard impatient du restaurateur, j'ai dû lui dire que c'était Madame qui allait choisir mon repas. Satisfaite, ma femme m'a commandé une salade verte. Pas trop de sauce, insista-t-elle car il est au régime ce soir.

 

Au milieu du repas, Georgette sortit de son sac à main un plug anal et me demanda d'aller aux WC pour l'enfiler. Elle rajouta tout fort que je devais revenir sans mon string. Je me suis exécuté immédiatement.

 

A mon retour, elle me demanda de déposer mon string sur la table. Je le posais discrètement, en boule, à côté de son assiette. Georgette le pris dans ses mains, le déplia et l'inspecta pendant de longues secondes, à la vue de toutes les autres tables. Elle ponctua en disant tout fort que ce n'était pas très viril comme sous-vêtement mais que cela ne l'étonnait pas.

 

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Inutile de dire que nos voisins n'en perdaient pas une miette.

 

Ma femme s'est levée et m'a dit de la rejoindre dans la voiture, après avoir payé l'addition.

 

Lorsque je suis arrivé sur le parking, j'ai remarqué que Georgette avait pris place du côté passager. Je m'installais donc au volant. Elle me reprocha de l'avoir faite attendre. Je m'excusais mais elle rétorqua que je méritais une punition. Je démarrais.

 

Georgette déboutonna mon pantalon et en extirpa mon sexe. Elle commença par me caresser puis pris mes couilles entre son pouce et son l'index et serra. La peau de mes bourses était bien tendue. Elle m'asséna alors une chiquenaude assez forte. La douleur était intense.

- Excuse-toi ! me lança-t-elle.

- Je suis désolé. Nouvelle chiquenaude.

- Je suis désolé qui ?

- Je suis désolé Maîtresse. Nouvelle chiquenaude.

- Mieux que ça !

- Je m'excuse de vous avoir fait patienter Maîtresse. Nouvelle chiquenaude et toujours au même endroit.

 

La douleur commençait à devenir insupportable. Chaque coup m'arrachait un cri étouffé.

- Remercie-moi pour le délicieux repas que je t'ai offert.

- Merci Maîtresse pour ma salade et mon verre d'eau. Nouvelle chiquenaude. S'il vous plaît Maîtresse, ça fait mal, je n'arrive plus à conduire. Nouvelle chiquenaude.

- Qui est-ce qui décide de la fin de la punition ?

- C'est vous, maîtresse. Nouvelle chiquenaude.

- Tu m'as faite attendre cinq minutes. Compte à haute voix !

 

Je commençais à compter pendant que Georgette m'assénait cinq violents coups de poing sur les couilles. A la fin, j'avais le souffle coupé et une forte douleur qui m'irradiait tout le bas-ventre.

 

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Elle me pinça les tétons à travers ma chemise, d’abord avec ses doigts puis avec ses ongles et les tritura durant tout le trajet.

- Dépêche-toi un peu, la soirée n'est pas finie.

 

Arrivés à la maison, Georgette m'ordonna de me mettre nu et de préparer à boire. Comme elle me l'avait demandé avant de partir au restaurant, j'avais mis une bouteille de champagne au frais et j'avais fait dégeler un glaçon de mon propre sperme. Il m'arrive de récupérer le fruit de mes masturbations et de les congeler pour les grandes occasions. Celui-ci contenait trois éjaculations.

 

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Georgette vint s'asseoir sur le canapé et me fit mettre à genoux à ses pieds. Je lui servis une coupe et nous avons trinqué. Elle me dit : - Ne bois pas tout d'un coup et garde ta semence dans la bouche avant de l'avaler. Fait-la bien passer sur ta langue pour que tu en ressentes tous les arômes.

Avant chaque gorgée, je conservais donc le liquide visqueux une trentaine de secondes avant de l'avaler.

 

Georgette avait les jambes croisées et du bout de son escarpin, elle me donnait de petits coups de pied dans les boules, encore toutes endolories par le traitement qu'elles venaient de subir.

 

- Nettoie mes chaussures !

 

Sans qu'elle ait besoin d'en dire plus, je me mettais à quatre pattes et léchais le cuir de ses escarpins.

 

- Insiste bien sur les semelles !

 

Le goût de la poussière se mélangeait à celui du sperme dans ma bouche. Pendant que je m'affairais, Georgette prenait un malin plaisir à planter son talon aiguille dans ma main, mon dos ou ma nuque.

 

Ma femme me fit mettre à quatre pattes et se plaça derrière moi. Elle commença par m'asséner une solide fessée puis elle passa sa main entre mes fesses et la ventouse du plug et la colla contre son pubis. Elle entama des aller-et-retour dans mon anus, sans ménagement.

 

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Elle me sodomisait avec force, en me disant que je n'étais qu'une lopette, un petite pute et qu'elle méritait mieux que moi. Je bandais comme un âne.

 

Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle se retira de mon cul et dit :

 

- Je vais te faire encore un cadeau que tu vas pouvoir choisir. Soit je te branle maintenant, en trente secondes mais tu ne me touches plus pendant une semaine, soit je t'autorise à me faire jouir avec ta langue mais toi, tu ne jouis pas aujourd'hui.

 

J'ai opté pour la deuxième solution. Je me suis une nouvelle fois agenouillé devant Georgette et j'ai glissé ma langue dans sa fente dégoulinante, sans rien espérer en retour.

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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 12:05

Le premier souvenir qui me revient remonte à quelques semaines après notre rencontre. Georgette et moi étions invités à l'anniversaire d'un de ses amis. C'était pour moi les présentations officielles à son groupe de copains. Lorsque je lui ai demandé s'il fallait s'habiller décontracté ou plus élégamment, elle m'avait répondu, sur le ton de la plaisanterie, chemise rose et jeans moulant. Je décidais de la prendre au mot malgré le fait que je ne portais jamais ce genre de vêtements.

 

J'arrivais donc à notre rendez-vous ainsi vêtu. Georgette n'a pas pu cacher sa surprise. Ma docilité l'a bien excitée car elle m'a carressé le sexe à travers mon pantalon pendant tout le repas.

 

Nous avons décidé d'aller prendre un verre dans un bar. Une fois sur place, elle m'a glissé dans l'oreille qu'elle voulait que je me rende aux toilettes, que j'ôte mon caleçon et que je m'en débarrasse dans la poubelle. Je me suis exécuté de suite. Le bar était bondé et nous étions debout dans un coin de la salle.

 

Georgette, qui commençait à ressentir les effets de l'alcool, m'a dit que je devais laisser les boutons de mon pantalon ouverts pour qu'elle puisse toucher ma bite dès qu'elle le souhaitait. J'ai commencé par refuser, en justifiant qu'il y avait trop de monde mais Georgette m'a sèchement rétorqué que si je comptais la toucher ce soir, je devais obéir. Je me suis plié, une fois de plus, à ses exigences.

 

A plusieurs reprises, elle s'est collée contre moi et pendant qu'elle m'embrassait sauvagement, elle me masturbait. A un moment donné, elle a sorti mon pénis, m'a masturbé sans ménagement puis s'est écartée subitement, me laissant le sexe à l'air et en érection.

 

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J'ai eu beaucoup de mal à le cacher. Quelques clients et clientes s'en sont rendu compte et se sont moqués ouvertement de moi.

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Mardi 17 mars 2 17 /03 /Mars 12:30

La moule, c'est fin, ça se mange sans faim !

Contrairement à la croyance populaire, la moule se consomme tous les jours de l'année, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Qui n'a jamais apprécié de se faire réveiller en pleine nuit pour déguster un bon plat de moule.

Afin de briser la monotonie, je vous propose quelques recettes qui mettront du sel dans votre cuisine.


La moule dans son jus : choisissez une moule de bonne taille. Massez la chair durant quelques minutes jusqu'à ce qu'elle soit bien recouverte de jus et dégustez-là immédiatement.

Bon appétit bien sûr !


La moule parfumée : recouvrez entièrement votre moule d'un film plastique puis d'une pièce de dentelle et laissez-la mariner au chaud quelques heures (ou jours). Procédez comme pour la première recette pour la dégustation. Vous remarquerez que les saveurs seront sublimées et plus présentes.

Bon appétit bien sûr !


La moule à la menthe : procédez comme pour la première recette puis au moment de dégustez, sucez un bonbon à la menthe extra-forte. Fraîcheur garantie !

Bon appétit bien sûr !


La moule au champagne : procédez comme pour la première recette puis durant la dégustation, rajoutez quelques fins jets de champagne, à votre convenance.

Bon appétit bien sûr !

 

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La moule à l'anis : procédez comme pour la première recette puis avant la dégustation, fourrez votre moule. Insérez-y de la liqueur anisée et dégustez ! Cette recette peut également se préparer avec de la liqueur d'importation. La production africaine s'accorde particulièrement bien avec la moule européenne.

Bon appétit bien sûr !

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 12:49

Ma femme me comble sexuellement. Bien évidemment, la fréquence de nos rapports pourrait être plus élevée mais la frustration n'est-elle pas un puissant aphrodisiaque ?


Je vénère toutes les parties de son corps. Ses seins sont de bonne taille et ses tétons sont extrêmement sensibles. Ils se dressent fièrement dès qu'on les stimule. Sa chatte est d'une douceur exquise. Ses poils blonds tirant vers le roux sont épilés, version ticket de métro. Le soir venu, son minou exhale un parfum envoûtant qui me rend complètement dingue. Son petit trou est si serré qu'il nécessite de longs préliminaires avant de pouvoir y glisser la langue. Ses pieds sont fins et lorsqu'ils sont chaussés de talons aiguilles, ils exercent sur moi un pouvoir hypnotique qui me rend plus obéissant que n'importe quel chien.

 

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Georgette sait user de tous ces arguments pour me tenir parfaitement en laisse.


Au contraire, ma femme mérite de trouver du plaisir ailleurs. Tout d'abord, en raison de la taille de mon sexe, que l'on ne peut pas qualifier de bite mais tout juste de zizi. Ridicule au repos, il ne présente qu'un peu plus d'une dizaine de centimètres en érection, soit à peu près la moitié de ce que n'importe quel adolescent africain de 14 ans trimballe dans son caleçon.


Ensuite, lorsque mon épouse me laisse la pénétrer, cela m'excite tellement que je ne parviens pas à retenir mon éjaculation plus de quelques minutes, voire même de quelques secondes.


Impossible pour elle de ne pas avoir envie de quelqu'un de mieux membré et de plus endurant qui saurait la faire jouir autant qu'elle le mérite et surtout qu'elle en droit d'exiger.

Par soumisamafemme - Publié dans : Fantasmes
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