Histoires vraies

Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 12:34

Lorsque Georgette m'a demandé de lui donner des idées pour mon cadeau d'anniversaire, je lui ai répondu qu'une soirée de soumission serait le plus merveilleux des présents.

 

Le soir en question, ma femme m'a demandé de mettre un string en résilles sous mon pantalon car nous sortions. C'est elle qui pour une fois prit le volant. Elle s'arrêta sur le parking d'un petit restaurant assez raffiné. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour prendre l'apéro. Georgette m'informa que c'est elle qui allait commander pour moi, toute la soirée.

 

Lorsque la serveuse est venue prendre notre commande, mon épouse lui a dit qu'elle allait prendre un verre de vin blanc et un verre d'eau du robinet pour moi. La serveuse esquissa un petit sourire. Une fois nos verres vides, nous sommes entrés dans l'établissement. Il y avait une quinzaine de clients. Le patron vint prendre la commande du repas. Georgette commanda un tartare de saumon en entrée, un filet de bœuf en second et une bouteille de vin rouge, avec un seul verre, précisa-t-elle. Lorsque le patron me demanda ce que je voulais manger, Georgette ne dit rien. Je l'ai interrogée du regard mais elle restait impassible. Face au regard impatient du restaurateur, j'ai dû lui dire que c'était Madame qui allait choisir mon repas. Satisfaite, ma femme m'a commandé une salade verte. Pas trop de sauce, insista-t-elle car il est au régime ce soir.

 

Au milieu du repas, Georgette sortit de son sac à main un plug anal et me demanda d'aller aux WC pour l'enfiler. Elle rajouta tout fort que je devais revenir sans mon string. Je me suis exécuté immédiatement.

 

A mon retour, elle me demanda de déposer mon string sur la table. Je le posais discrètement, en boule, à côté de son assiette. Georgette le pris dans ses mains, le déplia et l'inspecta pendant de longues secondes, à la vue de toutes les autres tables. Elle ponctua en disant tout fort que ce n'était pas très viril comme sous-vêtement mais que cela ne l'étonnait pas.

 

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Inutile de dire que nos voisins n'en perdaient pas une miette.

 

Ma femme s'est levée et m'a dit de la rejoindre dans la voiture, après avoir payé l'addition.

 

Lorsque je suis arrivé sur le parking, j'ai remarqué que Georgette avait pris place du côté passager. Je m'installais donc au volant. Elle me reprocha de l'avoir faite attendre. Je m'excusais mais elle rétorqua que je méritais une punition. Je démarrais.

 

Georgette déboutonna mon pantalon et en extirpa mon sexe. Elle commença par me caresser puis pris mes couilles entre son pouce et son l'index et serra. La peau de mes bourses était bien tendue. Elle m'asséna alors une chiquenaude assez forte. La douleur était intense.

- Excuse-toi ! me lança-t-elle.

- Je suis désolé. Nouvelle chiquenaude.

- Je suis désolé qui ?

- Je suis désolé Maîtresse. Nouvelle chiquenaude.

- Mieux que ça !

- Je m'excuse de vous avoir fait patienter Maîtresse. Nouvelle chiquenaude et toujours au même endroit.

 

La douleur commençait à devenir insupportable. Chaque coup m'arrachait un cri étouffé.

- Remercie-moi pour le délicieux repas que je t'ai offert.

- Merci Maîtresse pour ma salade et mon verre d'eau. Nouvelle chiquenaude. S'il vous plaît Maîtresse, ça fait mal, je n'arrive plus à conduire. Nouvelle chiquenaude.

- Qui est-ce qui décide de la fin de la punition ?

- C'est vous, maîtresse. Nouvelle chiquenaude.

- Tu m'as faite attendre cinq minutes. Compte à haute voix !

 

Je commençais à compter pendant que Georgette m'assénait cinq violents coups de poing sur les couilles. A la fin, j'avais le souffle coupé et une forte douleur qui m'irradiait tout le bas-ventre.

 

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Elle me pinça les tétons à travers ma chemise, d’abord avec ses doigts puis avec ses ongles et les tritura durant tout le trajet.

- Dépêche-toi un peu, la soirée n'est pas finie.

 

Arrivés à la maison, Georgette m'ordonna de me mettre nu et de préparer à boire. Comme elle me l'avait demandé avant de partir au restaurant, j'avais mis une bouteille de champagne au frais et j'avais fait dégeler un glaçon de mon propre sperme. Il m'arrive de récupérer le fruit de mes masturbations et de les congeler pour les grandes occasions. Celui-ci contenait trois éjaculations.

 

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Georgette vint s'asseoir sur le canapé et me fit mettre à genoux à ses pieds. Je lui servis une coupe et nous avons trinqué. Elle me dit : - Ne bois pas tout d'un coup et garde ta semence dans la bouche avant de l'avaler. Fait-la bien passer sur ta langue pour que tu en ressentes tous les arômes.

Avant chaque gorgée, je conservais donc le liquide visqueux une trentaine de secondes avant de l'avaler.

 

Georgette avait les jambes croisées et du bout de son escarpin, elle me donnait de petits coups de pied dans les boules, encore toutes endolories par le traitement qu'elles venaient de subir.

 

- Nettoie mes chaussures !

 

Sans qu'elle ait besoin d'en dire plus, je me mettais à quatre pattes et léchais le cuir de ses escarpins.

 

- Insiste bien sur les semelles !

 

Le goût de la poussière se mélangeait à celui du sperme dans ma bouche. Pendant que je m'affairais, Georgette prenait un malin plaisir à planter son talon aiguille dans ma main, mon dos ou ma nuque.

 

Ma femme me fit mettre à quatre pattes et se plaça derrière moi. Elle commença par m'asséner une solide fessée puis elle passa sa main entre mes fesses et la ventouse du plug et la colla contre son pubis. Elle entama des aller-et-retour dans mon anus, sans ménagement.

 

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Elle me sodomisait avec force, en me disant que je n'étais qu'une lopette, un petite pute et qu'elle méritait mieux que moi. Je bandais comme un âne.

 

Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle se retira de mon cul et dit :

 

- Je vais te faire encore un cadeau que tu vas pouvoir choisir. Soit je te branle maintenant, en trente secondes mais tu ne me touches plus pendant une semaine, soit je t'autorise à me faire jouir avec ta langue mais toi, tu ne jouis pas aujourd'hui.

 

J'ai opté pour la deuxième solution. Je me suis une nouvelle fois agenouillé devant Georgette et j'ai glissé ma langue dans sa fente dégoulinante, sans rien espérer en retour.

Par soumisamafemme - Publié dans : Histoires vraies - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 12:05

Le premier souvenir qui me revient remonte à quelques semaines après notre rencontre. Georgette et moi étions invités à l'anniversaire d'un de ses amis. C'était pour moi les présentations officielles à son groupe de copains. Lorsque je lui ai demandé s'il fallait s'habiller décontracté ou plus élégamment, elle m'avait répondu, sur le ton de la plaisanterie, chemise rose et jeans moulant. Je décidais de la prendre au mot malgré le fait que je ne portais jamais ce genre de vêtements.

 

J'arrivais donc à notre rendez-vous ainsi vêtu. Georgette n'a pas pu cacher sa surprise. Ma docilité l'a bien excitée car elle m'a carressé le sexe à travers mon pantalon pendant tout le repas.

 

Nous avons décidé d'aller prendre un verre dans un bar. Une fois sur place, elle m'a glissé dans l'oreille qu'elle voulait que je me rende aux toilettes, que j'ôte mon caleçon et que je m'en débarrasse dans la poubelle. Je me suis exécuté de suite. Le bar était bondé et nous étions debout dans un coin de la salle.

 

Georgette, qui commençait à ressentir les effets de l'alcool, m'a dit que je devais laisser les boutons de mon pantalon ouverts pour qu'elle puisse toucher ma bite dès qu'elle le souhaitait. J'ai commencé par refuser, en justifiant qu'il y avait trop de monde mais Georgette m'a sèchement rétorqué que si je comptais la toucher ce soir, je devais obéir. Je me suis plié, une fois de plus, à ses exigences.

 

A plusieurs reprises, elle s'est collée contre moi et pendant qu'elle m'embrassait sauvagement, elle me masturbait. A un moment donné, elle a sorti mon pénis, m'a masturbé sans ménagement puis s'est écartée subitement, me laissant le sexe à l'air et en érection.

 

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J'ai eu beaucoup de mal à le cacher. Quelques clients et clientes s'en sont rendu compte et se sont moqués ouvertement de moi.

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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 12:52

Ce blog n'a pour seule ambition que de relater les étapes qui me conduiront à devenir l'esclave de mon épouse.


Georgette fêtera bientôt ses quarante ans. C'est une ravissante petite blonde aux yeux bleus. Sa gourmandise lui a amené quelques rondeurs avec les années et elle possède des jambes magnifiques qu'elle ne met pas assez souvent en valeur à mon goût. Je rêve qu'elle ne porte plus que des jupes courtes et de vertigineux talons aiguilles.


J'ai fait sa connaissance un premier janvier. C'est elle qui a jeté son dévolu sur moi et je me suis laissé faire. Si certaines femmes n'embrassent pas le premier soir, Georgette m'a marquée de son emprise en me masturbant jusqu'à ce que je jouisse dans sa main.

 

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Sa forte personnalité et son caractère bien trempé m'avaient laissé entrevoir de bonnes qualités de dominatrice. Au fil des années, elle a senti que la soumission revêtait pour moi une grande importance. Peut-être même qu'elle a compris les avantages qu'elle pourrait en retirer.

Par soumisamafemme - Publié dans : Histoires vraies
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